Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (45)

J’ai franchi le pas, je suis en train d’appeler Tof pour lui rappeler le cadeau qu’ils m’ont fait pour mon anniversaire avec ses copains.
Je fais son numéro, il décroche.

• Bonjours Tof, peut-on tourner le week-end prochain chez moi dans ma villa à Saint-Palais sur mer, j’espère que ce sera possible ?
• Je contact Johnny Biroute, le réalisateur, c’est lui qui démarche l’équipe.
Si la date passe, combien veux-tu de hardeurs et de hardeuses, tu as carte blanche même sur le nombre.
C’est ton cadeau et je souhaite qu’il soit le plus beau possible.
• Nous avons besoin des trois hardeurs présents chez moi, Phil, Sébastian et toi.
Pour les filles, je les ai sur place en grand nombre.
D’ailleurs, j’ai aussi le titre « Magali et ses jolies putes. »
Qu’en penses-tu ?
• Très bon titre, je prends note de tout, j’ai noté l’adresse.
Donne-moi ton phone que je te rappelle pour tous vous confirmer.
06 00 00 00 00.

Je raccroche et j’entre dans la salle. Des cris de joie m’accueillent.
Ils sont tous la même Sindy.
Je leur donne des nouvelles des Tropéziennes.
Elles vont revenir vers quinze heures.
Nous décidons d’aller faire le marché.
En passant devant le Nausicana, Michelle, qui prépare les couverts, me signale que tout sera prêt pour treize personnes.
Non pas treize, quatorze avec Sindy qui sera de la fête.
À l’heure prévue, la voiture arrive.
Virginie, Anne et Aline, descendent toutes resplendissantes.
Nous tombons dans les bras et elles me claquent de gros baiser.
Virginie semble fatiguée comparée aux sœurs qui pètent la santé.

• Je vais me doucher, peux-tu venir avec moi ?
• Bien sûr, Marraine, je te suis.
• Plusieurs choses depuis tout à l’heure.
• Pour Fred et Fred, c’est bon pour mardi soir, hôtel le Cordouan chambre vingt-six à Royan vingt heures.
Pour Madeleine mercredi même hôtel vingt et une heures, il s’appelle Bernard.

D’accord pour deux mille euros pour la petite. Mille euros pour celle qui l’accompagne.
• Virginie, j’irai mardi avec notre couple, ils s’appelleront Michelle et Michel.
Tu iras avec Madeleine mercredi, elle s’appellera Diana. Il serait irraisonnable que deux jours à la suite que la même femme vienne avec une fille différente dans l’hôtel rencontrer des personnes.

Mon téléphone sonne, Tof a de bonnes nouvelles.

• Johnny Biroute est disponible et est enchanté de passer un week-end sur la Côte atlantique dans ta villa.
• Toute l’équipe arrivera vendredi vers dix-sept heures.
• Pas de problème tout sera prêt pour vous recevoir.

Et je raccroche.

• C’est Tof, nous allons tourner le porno, à partir de samedi.
• J’adore l’idée, nous allons pouvoir tester jusqu’où nos nouveaux amis sont prêts à aller dans le libertinage.
• On peut savoir en quoi consiste cette histoire de porno, avec vous nous en apprenons tous les jours des nouvelles.

Je comprends la question de Fabienne et le regard de Chantal qui arrive dans mon monde et celui de Valérie.
Je leur explique en quoi consiste mon cadeau d’anniversaire, bien que j’aie l’impression de leur en avoir parlé lors de notre rencontre, mais ma vie depuis que j’ai divorcé est si intense qu’elles peuvent en avoir oublié des parcelles, elles sont anxieuses, mais adhèrent à notre projet surtout lorsqu’elles savent le nom des trois hardeurs.

• Dommage, Yann, je ne sais, plus le nom le grand à la grande bite, j’aurais aimé qu’il soit là.

C’est ce que je pensais, fabienne sous son masque de revêche cache une salope, elle doit regarder les X en cachette chez elle.
Une fois dans notre chambre, je laisse la parole à Valérie.

• Explique-moi tes deux jours à Saint-Tropez, ils se sont bien passés ?
• Le voyage a été impeccable, les petites étaient très enthousiastes de prendre l’avion et de survoler la France qu’elles ont trouvée très belle.
Nous sommes arrivées à l’aéroport et nous sommes allées sur le port à l’heure à bord du taxi affrété par l’organisation.
Nous sommes montées dans une vedette qui nous attendait pour nous transporter à bord d’un yacht comptant trois ponts et tellement longs qui lui était impossible de venir à l’embarcadère.
À partir de ce moment, Valérie, Arum et Ayu, sont montés dans la vedette.
Nous sommes arrivées le long du yacht et des hommes d’équipage nous aide à monter à bord.
Ils doivent encore parler de la vision qu’ils ont eux lorsque nous sommes montées en mini et sans-culotte, eus en contrebas.
Le capitaine nous attendait en tenue blanche, casquette sous le bras et gants blancs.
Il nous a conduit dans un salon placé à l’arrière du yacht.
Ce salon faisait deux fois la salle du pavillon de Chennevières.
Cinq hommes se tenaient là.
Robe longue blanche, babouche et turban, certainement des habitants du golfe.
J’ai tous de suite remarquée, les yeux de ces messieurs rivés sur les deux sœurs eurasiennes.
Dans un anglais parfait celui qui semble être le propriétaire de ce palace flottant, c’est avancé et nous fait un baisemain.
Les petites étaient impressionnées. Il est sûr qu’à ce moment, je leur aurais dit.

• On s’en va.

• Elles seraient parties en courant.
Je les tenais chacune par les épaules.
Jamais leur nom n’a été prononcé.
Lorsqu’ils parlaient entre eux, ils le faisaient dans une langue arabe inconnue de moi.
Nous avons été conduites dans nos cabines.
De vraies bonbonnières. Le rose dominait et les meubles étant en acajou laqué.
Les salles de bains étaient toutes en boiseries blanches avec une baignoire faisant tout le centre de la pièce.
J’ai fait le tour des chambres des filles. Celle d’arum est dans les tons bleus et Ayu dans les Jaunes pâles.
Leurs salles de bains sont en tout point identique à la mienne, même la couleur.
J’allais prendre une douche lorsque l’on a tapé à ma porte.
Je suis allé ouvrir persuadé que c’était une des petites.
Le capitaine se tenait devant moi dans la même posture qu’à la coupée.
Seule différence, il avait à la main une mallette.
• Madame, le commanditaire de votre voyage vous fait parvenir cette mallette.
Il espère que tout est en règle.

À aucun moment ses yeux dérivent sur ma nudité.

• Il vous fait savoir que les escortes boys sont arrivées et que nous allons pouvoir lever l’ancre pour une balade en Méditerranée.
Il vous attend dans une heure dans le salon arrière.

Il m’a salué et tourné les talons.
Je vais prévenir les filles d’être prête à l’heure.
Les moteurs démarrent, il fallait tendre l’oreille pour les entendre tellement, ils étaient silencieux.
La chaîne a été remontée et nous avons senti le bateau prendre sa vitesse.
Je sais que le mal de mer est inconnu de moi, mais j’étais anxieuse du comportement de nos petites.
Le bateau a pris sa pleine vitesse et aucun tangage ou roulis.
Je fais venir les deux sœurs dans ma cabine pour leur faire voir la mallette.
Elle est pleine de billets.
Quelques choses me paraissent bizarres.
Je prends une lisse de billet de cinq cents euros.
Dix par liasses. Une liasse cinq mille euros.
Je compte les liasses, douze.
Au total soixante mille euros. Divisé par trois vingt mille euros par filles.
Le total aurait dû être de douze mille euros pour les deux jours.
Je faire retourner les filles dans leurs chambres pendant que je règle le problème.
En rangeant mes affaires, j’avais vu près du lit un bouton marqué.

« Capitaine. »

J’appuie.
Deux minutes et l’on frappe.
Il est derrière égal à lui-même.
Je lui fais part de l’erreur qu’il doit y avoir dans le total de la rétribution pour nos prestations.
Le total doit être de douze mille euros pour les deux jours et vous nous avez porté soixante mille euros.
Un léger sourire et il me dit.

• J’ai préparé l’argent moi-même suivant le contrat que les clients ont signé.
Je vous remercie d’avoir l’honnêteté de me signaler une erreur potentielle que j’aurais pu faire, mais ce que vous ignorez, c’est que le contrat stipulait que la somme était par personne présente de leur côté. Ils sont cinq donc aucune erreur, le total est bien de soixante mille euros.
• Je profite de votre présence près de moi, puis-je vous demander quelque chose.
• Si je peux vous répondre.
• Pourquoi le bateau reste stable même avec la houle ?
• Ce yacht trois pont construit dans le meilleur chantier français est équipé de barre antiroulis et antitangages.

Il tourne les talons.
Je cours voir les filles pour leur donner la bonne nouvelle, vingt mille euros, elles ne peuvent y croire.
Lorsque je suis entrée, elle se prélassait dans la baignoire de la chambre d’arum, jouant avec les boutons cherchant à quoi ils servent.
Je fais tomber mon peignoir et je les rejoins, j’ai à peine levé ma jambe pour descendre dans l’eau que deux mains viennent accaparer ma chatte, lorsque je me suis assise Arum plus prompt à devancer sa sœur sur mon clitoris qu’elle a pincé entre son pouce et son index.
Ayu veut éviter d’être en reste, vient sauter à mon cou et j’ai retrouvé le doux goût de ses lèvres qui quoique ma chatte soit dans l’eau s’est mise à mouiller.
Lèvres de ma petite et vulve que ma main trouve alors qu’à la manière dont Arum se tortille une nouvelle doit avoir reçu celle de sa sœur.
Alors que le moment d’entrée en contact avec nos clients, nous prenons un plaisir intense à quelques secondes d’intervalle.

• Allée les filles assez batifolées, allons gagner nos 60 000 €…